La République centrafricaine, en tant qu’État partie aux Conventions de Genève de 1949 et à leurs Protocoles additionnels de 1977, a mis en place un encadrement légal et réglementaire permettant, théoriquement, de promouvoir et de garantir le respect des
La République centrafricaine, en tant qu’État partie aux Conventions de Genève de 1949 et à leurs Protocoles additionnels de 1977, a mis en place un encadrement légal et réglementaire permettant, théoriquement, de promouvoir et de garantir le respect des règles de Droit international humanitaire. Cette responsabilité est partagée entre différents acteurs : le gouvernement, les groupes armés non-étatiques, les organisations humanitaires comme le CICR (Comité international de la Croix-Rouge), les organismes onusiens et régionaux, ainsi que les combattants et les civils. Elle est donc passée au crible par des mesures conventionnelles requises. Avec des exemples concrets du secteur de l’armée, des soins de santé en danger, de l’enseignement et de la répression, l’auteur souligne les limites de l’effectivité de la mise en œuvre de ce Droit. Il propose aussi quelques pistes de solutions pour sa pleine application.
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